jueves, 1 de abril de 2010

Dia 4: ça aurait pu etre pire...

Con una buena fiesta en el cuerpo las cosas se toman con más filosofía diciéndonos que podría haber sido peor. Por suerte nuestros nuevos amigos tienen un sitio de libre en una de sus motos (y menos mal porque si no no sé como hubiesemos hecho para volver 5 en dos motos). Esperando que se depierten volvemos a intentar dejar una declaración a la policía (esta vez en un puesto más grande), pero con el mismo resultado.
Sobre las 14 conseguimos despegar. Todos contentos y riéndonos de la desgracia. Y ¡pluf! una rueda que se pincha, justo al salir del pueblo. Los otros prefieren esperarnos en las cascadas que hay a unos kilometros de allí. Hinchamos la rueda y el "mécanico" nos informa de que el neumático esta viejísimo y que o cambiamos la rueda o volverá a pincharse. Decidimos probar suerte y subimos en esa moto las dos más ligeritas, bien pegadas para poner el mínimo peso sobre la rueda trasera.
Todo va bien. Hace bueno y estamos contentos. De repente la carretera desaparece, para dejar paso a un camino de tierra pero no es sufiente para alterarnos.

Seguimos riéndonos e imaginando las desgracias que nos podrían haber pasado "te imaginas que se pusiese a llover" Y efectivamente, se pone a llover. El diluvio. Pero seguimos controlando la situación y nos lo tomamos como una buena aventura, bien atentos a la carretera.
Llegados al punto más alto las nubes se abren y el sol vuelve a hacer aparición. La atención se calma y ¡bing! salimos volando tras intentar esquivar un agujero en el camino.
Hélenè primero y yo encima. Nada grave. Unos cuantos rasguños un poco profundos. Pero como buenos futuros médicos todos llevan un botiquín de lujo. Y allí, en medio del camino, montamos un hospital ante los ojos estupefiactos de los habitantes del pueblo en medio del cual habíamos tenido la suerte de caer. Y digo suerte porque habia solo vimos dos en todo el camino; y pudieron agenciarnos todo el agua que necesitabamos para limpiar aquello.

La sonrisas empiezan a borrarse para ir dando lugar a caras de angustia. Nos queda mucho camino y queda poco para anochecer. Pero no queda alternativa que la de seguir hasta encontrar un sitio donde comer y dormir. El camino es cada vez más malo, y con la oscuridad de la noche se convierte en una prueba muy difícil. Unas horas de angustia después una luz se visualiza a lo lejos. ¡Pakson! Conseguimos encontrar un hotel y tras una buena ducha toda la tensión acumulada se transforma en lágrimas incontrolables. ¡Vaya día!
Avec une bonne fête dans le corps on prend les choses avec beaucoup plus de philosophie, en se disant que ça aurait pu etre pire. Heureussement nos nouveaux copains ont une place de libre sur une de ses motos (parce que sinon je ne sais pas comme on aurait fais pour rentrer à cinq sur deux motos). En attendent qu´ils se reveillent on re-essaie laisser une declaration à la police, cette fois-ci dans un poste plus grande, mais avec le meme resultat. Vers 14 heures on reussi decoller. On est tous contents et on rit des malheurs. Et pluf!la roue qui éclate. Les autres préferent nous attendre aux casades qui ne sont que à quelques kilometres pendant que on la gonfle. Une fois fait le "mecanicien" nous informe que soit on change le pneu, soit il va encore éclater parce qu´il est très usé. On decide tenter la chance et sur cette moto on monte les deux les plus légerès, bien collées, pour mette le minimum poids possible sur la roue arrièreTout va bien. Il fait bon et on est contents. D´un coup la route disparé pour laisser place à un chemin de terre mais pas assez pour nous enerver. On continue a rigoler et a s´imaginer des autres malheurs qui pourraient nous arriver. "imagine toi qu´il se met à pleuvoir". Et effectivement il commence à pleuvoir. Le diluve. Mais on controle toujours la situation et on le prend comme une aventure, en faisant bien attention au chemin. Arrives au point le plus haut, les nuages s´ouvrent et le soleil refait son apparition. L´atention diminue et, bing! On vol en essaient eviter un trou dans le sol. Hélenè d´abord et moi par desus. Rien de grave. Quelques egratignures un peu profonds. Mais comme des bons futurs médecins ils sont tous de super trousses de secours. et au milieu du chemin on monte un hôpital devant les sourpris habitants du village oú on a eu la chance de tomber. Et je dit chance parce qu´on a en croisé qeu deux dans tout le chemin; et il sont pu nous donner toute l´eau duquel on avait besoin pour netoyer tout ça. Les sourires commencent à s´effacer pour donner place aux visages d´angoisse. Il reste beaucoup de chemin et la nuit ne tardera pas a tomber. Mais il ne nous reste pas une autre alternative que continue jusque trouver oú manger et dormir. Le chemin est de plus en plus degradé, et avec l´obscurité de la nuit ça devient une preuve très difficile. Quelques heures après une lumiere se dessine à l´horizon. Pakson!!On arrive à trouver un hotel et, après une bonne douche, la tension accumulé se transforme en larmes incotrolables. Quelle journée!